Les incroyables différences entre le cerveau, le foie et le rein selon le sexe
Nos gènes seraient-ils sexistes ?
À la puberté, ils s’activent différemment selon le sexe de leur propriétaire, entraînant des variations dans des organes non sexuels. Elles ne sont pourtant pas prises en compte dans les traitements médicaux…
Des gènes qui favorisent le sexisme biologique
Il semblerait que nos gènes contribuent à perpétuer le sexisme, même au niveau biologique. En effet, leur activité différente selon le sexe de l’individu pourrait engendrer des inégalités dans le développement des organes non sexuels. Un comble pour la science censée être objective !
Des conséquences médicales à prendre en compte
Les variations induites par l’activation différenciée de nos gènes à la puberté pourraient avoir des répercussions importantes sur la santé, notamment en ce qui concerne les traitements médicaux. Il est donc urgent que la médecine prenne en considération ces différences biologiques pour garantir des soins adaptés à chaque individu, indépendamment de son sexe.
Un appel à l’action pour une prise de conscience collective
Il est temps de remettre en question nos préjugés genrés, même au niveau de nos gènes. En tant qu’êtres humains évolués, il est de notre devoir de lutter contre le sexisme, qu’il soit social, culturel ou biologique. Il est temps de sensibiliser le grand public et les professionnels de la santé à cette réalité, pour que chacun puisse bénéficier de soins médicaux justes et adaptés à sa biologie.