L’inquiétude des patients face aux ruptures de stock

« Je ne comprends pas, on n’est pas dans un pays sous-développé ! Qu’est-ce qui se passe ? » L’incompréhension de Salima Sedira est à la hauteur de l’inquiétude qui monte chez de nombreux patients : vont-ils avoir accès au médicament qui les soigne ou les soulage, ce mois-ci, le mois prochain, le suivant ? Cette femme de 55 ans, sous traitement depuis 2006 pour sa bipolarité, a vécu une première cet été : impossible de trouver du valium (diazépam), utilisé pour diminuer l’anxiété dont elle souffre. « Rupture de stock », lui a-t-on dit dans sa pharmacie, à Saint-Paul-de-Vence (Alpes-Maritimes).

Au secours, en pénurie !

La situation est grave, il n’y a pas de doute là-dessus ! Les patients, comme Salima Sedira, se retrouvent dans une situation délicate où ils ne peuvent pas accéder aux médicaments dont ils ont besoin. Et nous ne sommes pas dans un pays sous-développé, rappelons-le ! Il est temps de trouver des solutions viables pour éviter ces ruptures de stock.

Une pharmacie sans médicaments ?!

Imaginez-vous entrer dans une pharmacie et entendre : « Désolé, nous n’avons pas ce médicament en stock pour le moment. » Ça peut sembler absurde, n’est-ce pas ? Malheureusement, c’est la réalité à laquelle de nombreux patients sont confrontés aujourd’hui. Les médicaments devraient être accessibles à tous, sans exception.

La solution : la prévention

Pour éviter ces pénuries de médicaments, il est essentiel de prendre des mesures préventives. Les laboratoires pharmaceutiques, les pharmacies et les autorités sanitaires doivent travailler ensemble pour anticiper les besoins et garantir un approvisionnement suffisant en médicaments. Cela pourrait permettre aux patients comme Salima Sedira de recevoir leur traitement sans interruption et de vivre leur vie pleinement.