Le président de la Fédération de l’hospitalisation privée se plaint de l’inflation

Un déficit inédit dans le secteur privé de la santé

Lamine Gharbi, président de la Fédération de l’hospitalisation privée, qui compte 1 030 cliniques et hôpitaux privés à but lucratif, s’inquiète d’un déficit inédit qui touche aussi son secteur, en raison de l’inflation. Il appelle l’Etat à compenser ces coûts, et regrette une
« dichotomie de traitement » avec le secteur public qu’il estime injustifiée.

Un appel à l’Etat pour sauver le secteur privé de la santé

Lamine Gharbi déplore la situation dans laquelle se trouve le secteur privé de la santé et en appelle à l’Etat pour prendre des mesures afin de compenser les pertes dues à l’inflation. Il souligne l’importance de ne pas opérer de différences injustifiées avec le secteur public, et demande une aide financière pour rétablir l’équilibre.

Une injonction à l’Etat : ne laissez pas le secteur privé de la santé sombrer

Lamine Gharbi met en avant la nécessité pour l’Etat d’intervenir rapidement pour sauver le secteur privé de la santé de la crise économique qui le frappe. Il insiste sur l’importance de maintenir l’équilibre entre le secteur public et le secteur privé, et encourage l’Etat à agir en conséquence pour éviter une catastrophe dans le domaine de la santé.