Choléra : explosion inquiétante de cas signalés à l’OMS en 2022
La recrudescence spectaculaire du choléra dans le monde
La recrudescence est spectaculaire. Le nombre de cas de choléra notifiés à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a plus que doublé dans le monde entre 2021 et 2022. Il est passé de 223 000 à 472 000, selon une note de l’OMS diffusée vendredi 22 septembre. Davantage de pays ont rapporté des cas : quarante-quatre en 2022, contre trente-cinq l’année précédente.
Une situation qui prend des proportions déconcertantes
La situation qui se dessine ne peut qu’inquiéter. Le choléra, cette maladie redoutable, semble se propager plus rapidement que les rumeurs dans une salle de bureau. Avec une augmentation de plus de 100% de cas notifiés à l’OMS en seulement un an, il est difficile de garder son calme. Le pire dans tout ça ? Le nombre de pays touchés est en hausse, rendant la tâche des épidémiologistes aussi ardue que de jouer à la roulette russe en portant un bandeau sur les yeux.
Une course contre la montre
Face à cette recrudescence effrayante, les autorités sanitaires se lancent dans une course contre la montre pour tenter d’enrayer cette épidémie. Les spécialistes du choléra sont mobilisés sur tous les fronts, prêts à se battre contre les bactéries diarrhéiques comme des super-héros en blouse blanche. Des mesures d’hygiène strictes sont recommandées à la population, mais il semblerait que certains prennent cela pour des recommandations de mode. En attendant, la montée en flèche du nombre de cas laisse peu d’espoir à ceux qui espéraient des vacances au bord de la mer.
Des chiffres alarmants
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Un jour, on compte 223 000 cas de choléra, le lendemain on en compte 472 000. C’est une augmentation telle qu’une petite voix dans notre tête nous dit qu’il y a probablement quelque chose qui ne tourne pas rond quelque part. Si seulement les chiffres étaient aussi gracieux que le pas d’une danseuse étoile… Mais non, ils nous martèlent la réalité de manière impitoyable. Alors, si vous cherchez une bonne raison d’éviter les fruits de mer douteux, en voilà une.