Des attitudes différentes à l’égard du porno

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Certains jeunes aiment le porno et le regardent plusieurs fois par semaine. Ou peut-être plusieurs fois par jour. D’autres trouvent le porno dégoûtant ou ne prennent tout simplement pas leur pied. Et il y a tous ceux qui se situent entre les deux.
 

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Il existe de nombreuses attitudes différentes à l’égard du porn, et aucune n’est plus juste que les autres. Une vaste étude menée en 2006 auprès de jeunes des pays nordiques a révélé que la grande majorité d’entre eux avaient vu du porno soit à la télévision, soit en ligne, soit dans des magazines pornographiques avant l’âge de 14 ans.

L’étude a révélé que la majorité des jeunes avaient vu du porno soit à la télévision, soit en ligne, soit dans des magazines pornographiques avant l’âge de 14 ans.

 

Les filles aussi regardent du porno

Bien des gens peuvent penser que la pornographie est un problème.

Beaucoup de gens pensent que les garçons sont beaucoup plus nombreux que les filles à avoir vu de la pornographie, mais l’étude nordique montre que la différence n’est pas si grande.

Il est vrai que 99 % des garçons ont vu de la pornographie avant l’âge de 14 ans.

Bien que 99 % des garçons déclarent avoir vu de la pornographie avant l’âge de 14 ans, de nombreuses filles en ont également vu.

L’étude nordique montre que la différence n’est pas si grande que cela.

Selon l’enquête, 86 % des filles ont également vu de la pornographie avant l’âge de 14 ans.

La plupart des jeunes – les garçons et les filles – disent avoir vu de la pornographie avant l’âge de 14 ans.

La plupart des jeunes – garçons et filles – ont regardé de la pornographie avant d’avoir des rapports sexuels pour la première fois, mais il existe des différences dans les raisons qui les poussent à le faire.

Les garçons comme les filles déclarent avoir regardé de la pornographie avant d’avoir des rapports sexuels pour la première fois.

Les garçons, selon l’enquête, disent qu’ils regardent principalement du porno parce qu’ils ont désir. Les filles ont plus tendance à dire qu’elles regardent du porno pour s’amuser ou par curiosité

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Mais bien sûr, il y a aussi des filles qui regardent du porno parce qu’elles en ont envie, et des garçons qui en regardent parce qu’ils sont curieux.

Il y a aussi des filles qui regardent du porno parce qu’elles en ont envie.

Il peut être difficile de dire quand la curiosité se transforme en désir. Peut-être que vous commencez à regarder du porno par curiosité, puis vous vous rendez compte que vous en avez envie.

Il est difficile de dire quand la curiosité se transforme en désir.

 

C’est difficile de dire quand la curiosité se transforme en désir.

Se faire des miroirs dans le porno

Gert Martin Hald, directeur général de l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, a déclaré

Gert Martin Hald, chercheur sur la pornographie, estime que les jeunes utilisent la pornographie comme un miroir parce qu’ils sont préoccupés par ce que pensent les autres.

Certains jeunes utilisent la pornographie comme un miroir parce qu’ils sont préoccupés par ce que pensent les autres.

Certains des jeunes de l’étude nordique disent aussi qu’ils veulent essayer ce qu’ils voient.

 

Les jeunes ne se sentent pas à l’aise avec les jeux vidéo.

Les attentes et l’anxiété de performance

Les attentes et l’anxiété de performance

L’anxiété de performance

Selon Gert Martin Hald, l’un des effets négatifs de la copie de matériel pornographique peut être que les jeunes développent une anxiété de performance.

Il peut s’agir d’une anxiété de performance ou d’une anxiété d’échec, ou encore d’une anxiété d’échec.

Cette anxiété peut être liée au corps et à l’apparence. Cela peut aussi concerner vos limites et ce que vous pensez devoir accepter lorsque vous avez des rapports sexuels avec une autre personne. Et c’est, bien sûr, regrettable.
Mais selon le chercheur, c’est un groupe relativement restreint qui est affecté négativement par le porno. Les autres, environ 85 % des jeunes, savent que le porno ne donne pas une image réaliste de la vie sexuelle.
Néanmoins, les jeunes doivent être critiques vis-à-vis de ce qu’ils voient dans la pornographie. Il s’agit d’un produit manufacturé et d’une fiction. Mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas vous en inspirer.

On peut utiliser la pornographie si on le fait à bon escient, affirme Gert Martin Hald.

 

Les garçons et les filles utilisent la pornographie différemment

Les garçons et les filles utilisent la pornographie différemment

Bien que de nombreux garçons et filles se soient familiarisés avec la pornographie, selon l’étude nordique, il existe une grande différence dans la manière dont les jeunes utilisent la pornographie.

Les garçons et les filles l’emportent sur les filles.

L’une d’entre elles pourrait être la suivante

L’une d’entre elles pourrait être que le porno fait traditionnellement partie de la culture des garçons :

« Traditionnellement, les garçons font partie de la culture des garçons.

« Traditionnellement, les garçons s’échangent des magazines pornographiques et des films vidéo, puis des CD-ROM, et aujourd’hui des images, des liens ou autre chose sur leur téléphone portable. Ce type de socialisation n’a pas été observé chez les filles ou les femmes.

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– Une autre explication pourrait être que l’égalité des sexes ne s’est pas encore imposée dans la production et l’utilisation de la pornographie.

Les garçons/les hommes n’ont pas encore réalisé qu’ils sont plus susceptibles d’être autorisés à exprimer leur sexualité.

Et cela semble fonctionner. Quand on crée du porno qui répond aux fantasmes féminins, les filles/femmes regardent plus de porno.

Et ça semble marcher.

 

Oui merci et non merci au porno

Le conseil de Gert Martin Hald aux jeunes est qu’ils apprennent à dire oui à ce qu’ils veulent et non à ce qu’ils ne veulent pas – que ce soit présenté comme normal ou anormal dans la société, dans la pornographie, entre amis ou autre.

– Le porno peut présenter des choses normales ou anormales dans la société, dans la pornographie, entre amis ou autre.

– Le porno peut présenter certaines formes de sexualité comme normales et d’autres comme anormales. Cela ne veut pas dire que c’est le cas. Il est important de reconnaître par soi-même ce qui est bien et ce qui ne l’est pas.

Aussi excitant et instructif que le porno puisse être si vous le voulez et utilisez ce que vous voyez, il peut être répugnant et inconfortable si vous sentez qu’il franchit vos frontières.

La pornographie n’est pas un phénomène de société, mais un phénomène de société.

Selon Gert Martin Hald, vous pouvez utiliser le porno et vous en inspirer, mais il faut le faire avec précaution et ne pas oublier d’être critique à l’égard de ce que vous voyez.