Violences sexuelles et sexistes dans les hôpitaux : des accusations choc impliquent Patrick Pelloux !
#metoo à l’hôpital : quand les masques tombent
C’est une figure médiatique du monde médical qui a remis la question des violences sexuelles et sexistes à l’hôpital sur le devant de la scène. L’infectiologue Karine Lacombe, connue du grand public depuis la crise due au Covid-19, a accusé, dans un article de Paris Match en date du 10 avril intitulé « #metoo à l’hôpital, les masques tombent », l’urgentiste Patrick Pelloux de harcèlement moral et sexuel. La professeure avait évoqué à plusieurs reprises auparavant, sans jamais le nommer, un médecin senior au comportement de « prédateur sexuel », côtoyé à l’hôpital Saint-Antoine, à Paris, au début des années 2000.
Quand le Covid-19 ne suffit pas…
On pensait que le Covid-19 était déjà source de nombreux problèmes, mais il semblerait que dans les couloirs des hôpitaux se cachent d’autres virus bien plus insidieux. L’affaire révélée par Karine Lacombe montre que même au sein d’établissements de santé respectés, des comportements inacceptables persistent.
Prédateur sexuel ou coup de scalpel maladroit?
La ligne entre la séduction et le harcèlement est parfois floue, mais quand on parle de professionnels de la santé, on se demande s’il s’agit d’un abus de pouvoir ou juste d’une maladresse involontaire. Patrick Pelloux, urgentiste reconnu, se retrouve ainsi au cœur d’une tourmente médiatique dont il se serait bien passé. Mais les masques tombent, et la vérité éclate au grand jour.
La parole se libère en blouse blanche
Cette affaire met en lumière le courage de Karine Lacombe et la nécessité de briser le silence sur les violences sexuelles dans le milieu médical. Il est essentiel que les victimes se sentent écoutées et soutenues, même si cela signifie confronter des figures respectées de la profession. Le respect et l’intégrité doivent prévaloir, quel que soit l’uniforme porté.