Trafic de drogue à Nîmes : l’école en première ligne face aux balles
Retour en classe à Nîmes : la sécurité avant tout
Ce 4 mars, à Nîmes, les élèves de l’école Georges-Bruguier reviennent au compte-gouttes devant le portail vert, un peu plus nombreux que la semaine précédente. Désormais, ils doivent passer devant les agents de la police municipale, nouveau cordon de sécurité mis en place dix jours plus tôt, avant de pénétrer dans la grande cour désertée. Encore une bonne moitié des enfants manque à l’appel. Dans le Gard, alors que les cours ont repris depuis le 26 février, de nombreuses familles du Chemin-Bas-d’Avignon n’osent plus laisser leurs enfants dans l’école de ce quartier sensible, assiégé depuis plusieurs années par le trafic de stupéfiants.
Un renforcement de la sécurité pour protéger nos chères têtes blondes
La présence des agents de la police municipale devant l’école Georges-Bruguier à Nîmes est une mesure forte pour garantir la sécurité des enfants. Plus que jamais, il est essentiel que nos chères têtes blondes puissent étudier dans un environnement sain et protégé.
Le trafic de stupéfiants ne passera pas par nos écoles
Face à la menace du trafic de stupéfiants qui sévit dans le quartier du Chemin-Bas-d’Avignon, les autorités ont décidé de prendre des mesures drastiques. Il est hors de question que nos écoles soient le terrain de jeux des trafiquants. La sécurité des enfants doit être une priorité absolue.
Ensemble, protégeons l’éducation de nos enfants
Il est temps d’agir et de prendre des mesures concrètes pour assurer la sécurité des écoles et permettre aux enfants d’étudier dans un environnement serein. La présence des forces de l’ordre devant les établissements scolaires est une première étape, mais il est crucial que chacun d’entre nous reste vigilant et participe à la protection de nos enfants.