Comment détecter les cas de soumission chimique ? Le défi des médecins !

Comment détecter les cas de soumission chimique ? Le défi des médecins !



Soumission chimique : un calvaire incompréhensible

Soumission chimique : un calvaire incompréhensible

« Soumission chimique » : l’expression s’est imposée dans le débat public, à la faveur du procès des viols de Mazan. Avec une autre : « errance médicale ». Car durant les presque dix années du calvaire de Gisèle Pelicot, violée par son mari et des dizaines d’hommes après avoir été droguée aux anxiolytiques, des signes et symptômes cliniques avaient bien été identifiés – des pertes de mémoire, des « absences », des problèmes gynécologiques… Sans que le « puzzle » menant à un repérage des agressions sexuelles dont elle était la victime ne parvienne à être reconstitué.

Quand les anxiolytiques deviennent un cauchemar

Imaginez-vous être plongé dans un cauchemar éveillé, où la réalité se mélange avec l’illusion causée par des substances insidieuses. C’est le calvaire qu’a vécu Gisèle Pelicot, victime de soumission chimique, une torture psychologique difficile à imaginer pour la plupart d’entre nous.

La quête de justice : un chemin semé d’embûches

Se battre pour obtenir justice quand on est victime d’une telle manipulation mentale et physique est un défi de chaque instant. Les preuves sont difficiles à rassembler, les témoignages parfois remis en cause, mais la détermination des victimes est sans faille.

Des victimes invisibles, des souffrances ignorées

Les victimes de soumission chimique sont souvent ostracisées, incomprises, voire accusées à tort. Il est temps de briser ce silence, de reconnaître leur souffrance et de leur apporter le soutien dont elles ont tant besoin. La lutte contre ce fléau ne fait que commencer, mais elle est essentielle pour prévenir de nouveaux drames.

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