La réponse de l’Institut Pasteur face à l’épidémie de mpox

Prêts à affronter la maladie

Deux ans après avoir pris en charge des patients atteints de mpox lors de la précédente épidémie de variole du singe, l’Institut Pasteur s’est dit prêt à en « tester et vacciner » de nouveaux. Dans un communiqué rappelant le contexte récent de recrudescence de la maladie virale, l’organisme a affirmé, lundi 19 août, que sa « cellule d’intervention biologique d’urgence » analysait désormais, « sur demande des autorités sanitaires, les prélèvements suspects » réalisés dans des établissements hospitaliers parisiens ou au sein de son centre médical.

Une cellule d’intervention au taquet

L’Institut Pasteur ne chôme pas lorsqu’il s’agit de répondre aux menaces virales. Avec sa «cellule d’intervention biologique d’urgence», il analyse les prélèvements suspects avec une réactivité qui donnerait des complexes à Flash. Rien ne lui échappe dans sa lutte contre la mpox!

Vacciner pour mieux régner

Face à cette épidémie potentielle, l’Institut Pasteur ne craint pas de tester et de vacciner. Car comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir. Alors n’hésitez plus, faites confiance aux experts et suivez les recommandations en matière de prévention. Ensemble, nous vaincrons la mpox!