Gouvernement manquant : chantiers nationaux en attente !
Une phase de gestion des affaires courantes
Avec l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin, s’est ouverte, dans les services de l’Etat, une phase inédite de simple gestion des affaires courantes. Dans de nombreux domaines, des décisions relevant de choix budgétaires ou d’orientation politiques sont en suspens, pour une durée inconnue.
Les choix budgétaires en stand-by
Certaines décisions cruciales pour le budget de l’État se retrouvent actuellement en suspens. Les orientations financières futures sont difficiles à prévoir, dans cette période de transition. Les contraintes budgétaires risquent de peser sur les politiques à venir.
Des orientations politiques en attente
L’absence de l’Assemblée nationale entraîne également un flou quant aux orientations politiques à suivre. Les réformes en cours risquent d’être stoppées net, en attendant la mise en place d’une nouvelle équipe parlementaire. Les choix politiques à venir restent donc incertains.
Une situation inquiétante pour certains, source de soulagement pour d’autres
Certains observateurs s’inquiètent de cette période de gestion des affaires courantes, tandis que d’autres y voient une opportunité de repenser certaines politiques. Quoi qu’il en soit, la dissolution de l’Assemblée nationale a créé une situation inédite qui suscite de nombreuses interrogations.
Il est vrai que sans l’Assemblée nationale, la situation devient incertaine, mais cela peut aussi être l’occasion de réfléchir à de nouvelles orientations. En attendant, la gestion des affaires courantes s’impose, dans l’attente de jours meilleurs.