Catastrophe en Ehpad : nouvelle crise financière en vue ?

Catastrophe en Ehpad : nouvelle crise financière en vue ?





Quand l’odeur d’urine met le moral à zéro à l’Ehpad

L’odeur d’urine à l’Ehpad : un problème qui persiste

« Cette odeur d’urine dès qu’[’elle] entre dans l’Ehpad » la désespère. A chaque visite, Monique Plazzi, vice-présidente socialiste chargée de l’accompagnement à la perte d’autonomie et au handicap du département de la Haute-Vienne, repart avec « le moral à zéro ». Car elle connaît l’origine de « l’odeur » : la directrice de l’établissement ne « change plus quatre fois par jour, comme avant, les papis et les mamies », confie l’élue. Elle a dû réduire son « budget couches » pour faire des économies tant l’Ehpad est « dans le rouge ».

Une situation qui sent mauvais

Il est difficile d’imaginer une situation plus gênante que celle de se retrouver face à une odeur d’urine persistante dès l’entrée dans un Ehpad. Alors que les résidents devraient bénéficier d’un environnement propre et respectueux, il semble que des économies malvenues aient pris le pas sur l’hygiène.

Des papis et des mamies pas dignement traités

Les papis et les mamies méritent bien plus qu’un changement de couches économisé. Il est de la responsabilité de tous les établissements de prendre soin de leurs résidents de manière digne et respectueuse. Il est temps de remettre l’humain au cœur des priorités, même s’il faut y mettre le prix.

Agir pour changer les choses

Il est temps d’agir pour que l’odeur d’urine ne soit plus synonyme de découragement et de désespoir pour les visiteurs de l’Ehpad. Les autorités compétentes doivent prendre les mesures nécessaires pour garantir un environnement sain et agréable pour tous les résidents. La dignité des personnes âgées ne peut pas être sacrifiée sur l’autel des économies.


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