Mois sans alcool : Le ministère de la santé fait une révélation choquante

Mois sans alcool : Le ministère de la santé fait une révélation choquante




Le Défi de janvier : Pour ou contre le mois « sans alcool » ?

Le Défi de janvier : Pour ou contre le mois « sans alcool » ?

Le débat relancé par les universitaires et les médecins

Ce n’est pas encore cette année, semble-t-il, que le gouvernement apportera son soutien officiel au « Défi de janvier », ce mois « sans alcool » porté par les associations de prévention. Le débat a rebondi avec l’interpellation du ministre de la santé, Aurélien Rousseau, par une cinquantaine d’universitaires et d’enseignants d’addictologie. Dans un courrier en date du 21 novembre, dont Le Parisien s’est fait l’écho, mardi 12 décembre, ce collectif de scientifiques et de médecins a appelé l’Etat à soutenir cette « opération positive qui consiste pour chacun (…) à s’interroger sur la place que prend l’alcool dans sa vie et de relever le défi de ne pas en consommer pendant cette période, sur une base volontaire qui n’est ni normative ni moralisatrice ». Ils attendent toujours une réponse.

Des réactions mitigées

Le Défi de janvier divise et suscite des réactions mitigées. Si certaines personnes voient en cette initiative une opportunité de faire une pause et de réfléchir à leur consommation d’alcool, d’autres la considèrent comme une privation inutile et contraignante. Certaines études montrent toutefois que le mois « sans alcool » peut avoir des bienfaits sur la santé et le bien-être.

Pour ou contre le mois « sans alcool » ?

Alors que le débat fait rage, il est important de se poser la question : faut-il soutenir le Défi de janvier ou non ? Chacun a son opinion sur la question, mais une chose est sûre : cette initiative invite à réfléchir sur notre rapport à l’alcool et à prendre conscience de son impact sur notre vie quotidienne. En fin de compte, la décision d’y participer ou non revient à chacun, en toute conscience.


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